Le bouche-à-oreille peut être une excellente source d’information pour définir le choix de son sophrologue. Lorsque l’on cherche un sophrologue, on peut se référer aux conseils d’un proche ou aux recommandations d’un professionnel. Une fois le sophrologue trouvé, il est important de prendre contact avec lui pour échanger et lui poser toutes les questions qui vous semblent importantes. Cela vous permettra aussi de mesurer la qualité du premier contact. Enfin, il ne faut pas hésiter à changer de professionnel, même en cours d’accompagnement, lorsque le besoin se fait ressentir.

La formation suivie par le sophrologue a bien évidemment un impact sur sa pratique professionnelle. Il peut être intéressant de vérifier les références de l’école en question, et regarder si, par exemple, elle bénéficie d’une certification de qualité, ou encore si elle délivre un titre de sophrologue de qualité (Voir page des diplômes). La notoriété d’une école, ainsi que son développement depuis sa date de création, peuvent aussi être signe de la « bonne santé » de l’établissement. Plus les formations y sont de qualité, plus elles ont tendance à être prisées par les élèves et donc par leurs futurs clients.

Pour l’heure, un sophrologue pas l’obligation de disposer d’un diplôme pour exercer. Cependant, si ce critère est important pour vous, sachez que les sophrologues qui communiquent sur leur diplôme de sophrologue ne disposent pas forcément d’un titre de qualité. Il s’agira donc de vérifier que ce titre est bien en conformité avec la législation et que son niveau de qualification est satisfaisant. En savoir +

La Chambre Syndicale de la Sophrologie impose à ses membres, qu’ils soient sophrologues, organismes de formation ou formateurs, de respecter un code de déontologie spécifique. Les sophrologues membres, seront amenés à respecter des règles éthiques et déontologique dans le cadre de leur profession.

En savoir +