Sondage réalisé en novembre 2018 auprès d’un échantillon grand public de 973 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus n’ayant jamais pratiqué la sophrologie.
Question posée lors du sondage
Si demain, la profession de sophrologue était encadrée par une norme, estimez-vous que cela vous inciterait à pratiquer la sophrologie ?
- De manière globale, 45% d’entre eux affirment que cette norme les inciterait, en effet, à pratiquer la sophrologie.
- Ce chiffre monte jusqu’à 58% chez les personnes qui ont une bonne image de la sophrologie.
- Ce chiffre monte à 14% chez les personnes qui ont une mauvaise image de la sophrologie.
Les Français qui ont répondu favorablement à cette question sont composés à 51% de personnes de moins de 50 ans et à 50% de femmes.
Conclusion du sondage
L’encadrement des pratiques du sophrologue par une norme AFNOR inciterait plus d’1 personne sur 2 à pratiquer la sophrologie, lorsqu’ils en ont une bonne image au préalable.
Cette norme inciterait plus d’une personne sur dix qui ont des a priori négatifs sur la sophrologie à l’essayer.
La norme sur la pratique des sophrologues est donc un vecteur de promotion de l’activité des sophrologues mais aussi un vecteur d’amélioration de leur image.