Catégorie socio-professionnelle
Il n’y a pas de « catégorie-type » de sophrologue, car les personnes qui choisissent d’exercer le métier proviennent de milieux professionnels très différents. Certains, auront travaillé dans le domaine de la santé en tant qu’infirmière, sage-femme ou ostéopathe, alors que d’autres auront suivi un parcours professionnel dans les ressources humaines ou dans les métiers du tertiaire.
De la même façon, l’âge n’est pas un élément déterminant et l’on peut envisager de devenir sophrologue à tout âge, même en complément de sa retraite.
Aptitudes naturelles
Être sophrologue, c’est exercer un métier de relation d’aide. C’est pourquoi, ce professionnel doit être tourné vers l’humain et porté par l’envie d’aider et d’accompagner les autres. Les qualités d’écoute et de bienveillance sont aussi essentielles pour réaliser un parcours d’accompagnement dans un cadre de confiance et de confidentialité.
Le métier de sophrologue nécessite également d’être respectueux et tolérant vis-à-vis d’autrui afin de ne pas laisser son point de vue interférer dans le suivi.
Expériences professionnelles
Toute expérience professionnelle pourra être mise à profit en tant que professionnel libéral. Qu’il s’agisse de notions de communication, de comptabilité ou encore de prospection commerciale, elles seront un plus pour booster son activité. Certains atouts comme la détermination, l’esprit de synthèse, la logique ou la curiosité pourront aussi être d’une grande utilité pour mettre en œuvre son projet.
Quoi qu’il en soit, le plus important lorsque l’on souhaite se lancer dans une activité de sophrologue, c’est d’être motivé par l’envie de développer son propre projet. Certaines personnes disposeront d’une nature entrepreneuse, tandis que d’autres seront simplement en quête d’indépendance. Devenir entrepreneur est aussi l’occasion d’apprendre sur le terrain et d’assimiler de nombreuses connaissances.