Depuis juillet 2013 et la nouvelle loi ESR, l’article L731-14 du code de l’Education se voit complété comme suit :
« Est puni de la même peine (30.000 € d’amende) le responsable d’un établissement (privé) qui décerne des diplômes portant le nom de master, alors qu’il n’a pas été autorisé, dans les conditions fixées par décret, à délivrer, au nom de l’État, des diplômes conférant le grade de master (bac +5) »
Les écoles de formation françaises délivrant un « master de sophrologie » ou un « master sophrologue », etc… sont donc en parfaite illégalité et sont susceptibles d’être poursuivies.
De plus, les sophrologues arborant leur titre de « master » sont également condamnables pour publicité mensongère et/ou usurpation de titre.
Pour ne pas risquer d’être poursuivi par la loi en cours d’activité professionnelle, il convient de bien se renseigner sur l’intitulé du diplôme délivré par les écoles de sophrologie. De la même manière, il est important de vérifier l’exactitude des informations communiquées par ces organismes de formation.