Reconnaissances par les institutions
Enregistrement du métier au RNCP
La CNCP (Commission Nationale de la Certification Professionnelle) organisme rattaché au Ministère du Travail qui opère pour l’organisation de la qualification dans la formation professionnelle, a enregistré en 2011, le premier certificat professionnel de sophrologue dans son répertoire national (RNCP – Répertoire National de la Certification Professionnelle).
Cet enregistrement a officialisé le niveau de qualification du sophrologue mais il a aussi acté la réalité économique de ce métier. En effet, la CNCP liste et classe les diplômes et certificats répondant aux besoins du marché du travail. Voir page sur le « Titre RNCP »
Ajout du métier dans la nomenclature INSEE
En 2012, l’INSEE a procédé à l’ajout du métier de sophrologue dans sa nomenclature. Cette dernière répertorie la nature des activités des entreprises françaises. Cet ajout confirme que le métier de sophrologue fait partie intégrante de la réalité économique du pays.
Depuis, deux codes APE (Activité principale exercée) permettent de répertorier le métier de sophrologue. Le premier permet de classer les activités professionnelles à ambition thérapeutique (8690F) et le second celles plus orientées bien-être (9609Z).
Reconnu comme profession libérale
Les sophrologues, à travers la Chambre Syndicale de la Sophrologie, sont membres de la CNPL (Chambre Nationale des Professions Libérales).
Cet organisme est chargé de les représenter et de défendre leurs intérêts.
Enregistrement au Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois (ROME)
Depuis 2009, Pôle emploi a fait apparaître le métier de sophrologue dans une nouvelle fiche enregistrée au Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois (ROME).
Cet ajout a permis au métier d’être doté d’un code ROME : le K1103 et d’être reconnu par cette institution officielle comme profession de développement personnel et de bien être à la personne.